I’m a Breton music passionate. After a couple of years collecting songs and discovering lyrics, I decided to share my collection of Breton lyrics in case there’s someone out there willing to collect them as well, sparing them from the difficulties I had to go through! I’m not a French native, so sorry in advance for the mistakes you might find!
If you’ve got lyrics you want to add to this collection please Pm me!
Je suis une passionnée de la musique bretonne. Après quelques années à recueillir les chansons et à découvrir leur paroles, j’ai décidé de partager ma collection de paroles bretonnes au cas où il ya quelqu’un qui les cherches aussi, en leur évitant les difficultés que j’ai eues à traverser! Je ne suis pas française, désolée d’avance pour les erreurs que vous pourriez trouver!
Si vous avez paroles que vous voulez ajouter à ma collection, merci d’envoyer-moi un message!
Me am eus ur feunteun e-barzh kornig ma jardin
Eno ma ven kavet diouzh an noz hag ar mintin
Eno ma ven kavet atristet gant ar glac’har
‘Soñjal ‘barzh ma mestrez a zo aet d’an douar
J’ai une fontaine dans un coin de mon jardin, Là, vous me trouverez le matin comme le soir. Là, vous me trouverez, atterré de chagrin, En pensant à ma bien-aimée qui est partie en terre.
Marv eo ma mestrez, marv eo ma holl fiziañs
Marv ma flijadur ha toud ma holl esperañs
Biken ‘m bije soñjet hag ar marv a teuje
Da lemel diganin ma dous, ma c’harantez
Ma bien-aimée est morte, toute ma confiance est morte, Mon plaisir est mort, ainsi que tous mes espoirs Jamais je n’aurais pensé que la mort viendrait M’enlever ainsi ma douce, ma bien-aimée.
Deus poanioù ar bed-mañ, fuzulhioù ha sabrennoù
Hastit, mar plij ganeoc’h finisañ din ma deizioù
Hastit, mar plij ganeoc’h finisañ din ma buhez
‘vit ma’c’h in d’ar bed all war-lerc’h ma c’harantez
Peines de ce monde, fusils et couteaux, Depêchez-vous, je vous en prie, d’en finir avec mes jours. Depêchez-vous ,je vous en prie, d’en finir avec ma vie. Que j’aille dans l’autre monde rejoindre ma bien-aimée.
C’hoarvez a ra ganin evel gant ur marc’hadour
En deus ur vatimant da navigiñ war ar mor
Graet ganti he beaj, erruet eo poz ar joa
Ma doucho da Gernev ma ranko perisañ
Je suis comme un marchand. J’ai un navire pour voyager sur mer Son voyage terminé, il arrive dans le port de la joie, Si le mât vient à se briser il sombrera.
Me am eus ur feunteun e-barzh kornig ma jardin
Eno ma ven kavet diouzh an noz hag ar mintin
Eno ma ven kavet atristet gant ar glac’har
‘Soñjal ‘barzh ma mestrez a zo aet d’an douar
J’ai une fontaine dans un coin de mon jardin, Là, vous me trouverez le matin comme le soir. Là, vous me trouverez, atterré de chagrin, En pensant à ma bien-aimée qui est partie en terre.
1. Ur wennel yaouank da zimeiñ,
Me gave galanted, muioc’h ‘ged faote din
Ya, me gave galanted din er ker hag ar maezioù
Hag e teue d’am gweled, a vandenn, a boulladoù.
1. Une jeune hirondelle à marier, J’avais des galants plus qu’il m’en fallait Oui, j’avais des galants des villes et des champs Qui venaient me voir en bandes, en ribambelles.
2. Dont ree d’am gweled d’ar zul, a goupladoù.
A zegase din blankadoù avaloù,
Ya, blankedoù avaloù, blankedoù pér mélen
Hogen kavoud an tu d’ober an eostanenn.
2. Ils venaient me voir le dimanche par couples Ils m’apportaient chacun pour un sou de pommes Oui, pour un sou de pommes, ou de poires jaunes Mais (comment) trouver le moyen de faire récolte ?
…
3. Hogen me zo dimeet
Din-me tamm gwell n’eo ket
D’ur c’hoz bolomig kozh
Ha me ne garan ket
3. Mais je suis mariée Et ne m’en trouve pas mieux A un fichu vieux bonhomme Que je n’aime pas.
4. D’ur c’hoz bolomig kozh
Passe tri-ugent vloaz
Ha me fumelenn yaouank
Neket c’hoazh ugent vloaz.
4. A un fichu vieux bonhomme Qui a passé 60 ans Et moi jeune femme Je n’ai pas encore 20 ans.
5. D’ur c’hozh bolomig kozh
Daved triwec’h a-boan
Ha me fumelenn yaouank
Ur blomenn da ouel raen
5. A un fichu vieux bonhomme. J’allais sur mes 18 ans à peine Et moi jeune femme Je pleurais comme une fontaine.
6. D’ur c’hoz bolomig koz
Giz ivez a bevar
Ma ne blije da Zoue
Ne vije ket hep mar.
6. A un fichu vieux bonhomme Qui en vaut quatre à lui seul Si cela ne plaisait pas à Dieu Cela ne serait pas, sans doute.
7. Tavit, tavit-ta plac’h yaouank
Ho c’hoz bolom e varvo
Tavit, tavit-ta plac’h yaouank
Ho c’hoz bolom e varvo
7. Taisez-vous, taisez-vous donc, jeune fille Votre fichu vieux bonhomme mourra Taisez-vous, taisez-vous donc, jeune fille Votre fichu vieux bonhomme mourra
8. Ha c’hwi pegen yaouank
Hellfec’h dimein endro
Ha c’hwi pegen yaouank
Hellfec’h dimein endro
8. Et vous qui êtes si jeune, Vous pourrez vous remarier Et vous qui êtes si jeune, Vous pourrez vous remarier
9. Bolom na c’houlla ket
Ec’h eon me da zañsal
O nann bolom ne c’houlla ket
Ec’h eon-mik da zañsal
9. Bonhomme ne veut pas Que j’aille danser O non, bonhomme ne veut pas Que j’aille jamais danser.
10. Ya, mennin din ur bombard
Ez on da reiñ din eurvad
Ya, mennin din ur bombard
Ez on da roy din eurvad
10. Moi, je veux une bombarde Je vais me donner du plaisir Moi, je veux une bombarde Je vais me donner du plaisir
11. Bolom ne c’houlla ket
da vouzhom doc’h an dud
Bolom, bolom, ne c’houlla ket
da vouzhom doc’h an dud
11. Bonhomme ne veut pas Que j’abasourdisse les gens Bonhomme ne veut pas Que j’abasourdisse les gens
12. Me bort ‘n davañjer du
Da lakaat e ven du
Me bort ‚n davañjer du
Da lakaat e ven du
12. Oui, je porte un tablier noir Pour faire comme si j’étais en deuil Oui, je porte un tablier noir Pour faire comme si j’étais en deuil
13. Bolom ne c’houlla ket
Da veajin-me d’am zu
Bolom na c’houla ket
da veajin-me d’am zu
13. Bonhomme ne veut pas Que j’aille de mon côté Bonhomme ne veut pas Que j’aille de mon côté
14. Yaouang vein ouneini youn a bep-tu
Ya ne vagay tu mui
Yaouang a bep-tu
Ya ne vagay tu mui
14. De jeunes… de tous côtés Oui, … plus . De jeunes… de tous côtés Oui, … plus
…..
15. Setu marv ar bolom
Ha lakaet don en douar.
Setu marv ar bolom
Ha lakaet don en douar.
15. Voici que le bonhomme est mort Et mis en terre Voici que le bonhomme est mort Et mis en terre
16. Gwennegig obolenn
Ennan in euz ar c’harr
Gwennegig obolenn
Ennan in euz ar c’harr
16. Un sou d’obole … de la charrette Un sou d’obole … de la charrette
17. Tapit din ur penn ognon,
Ha soñjit a ouelin!
Tapit din ur penn ognon,
Ha soñjit a ouelin!
17. Apportez-moi une tête d’oignon Et imaginez que je pleure Apportez-moi une tête d’oignon Et imaginez que je pleure
18. Posubl na vin ket gwelloc’h
med propikoc’h a vin.
Posupl na vin ket gwelloc’h
med propikoc’h a vin.
18. Il est possible que je n’en sois pas meilleure Mais je serai plus convenable. Il est possible que je n’en sois pas meilleure Mais je serai plus convenable.
19. Ya, lakay ar sonerien
Da soniñ war e vez
Ur giniad ha sonerion
Da soniñ war e vez
19. Oui, je mettrai les sonneurs A sonner sur sa tombe. Un chantre et des sonneurs Qui joueront sur sa tombe !
20. Ha ma’ ya ar re arall
Me’z ay ganto ivez
Ha ma ‘ ya ar re arall
Me’z ay ganto ivez
20. Si les autres y vont J’irai aussi. .Si les autres y vont J’irai aussi.
21. Nim nag e zonerien
Digant fleütoù arc’hant
O Nim nag e zonerien
Digant fleütoù arc’hant
21. Que se soient des sonneurs Avec des flutes en argent ! Que se soient des sonneurs Avec des flutes en argent.
22. D’inorañ ar bolom
Balamour d’e arc’hant;
D’inorañ ar bolom
Balamour d’e arc’hant!
22. Pour faire honneur au bonhomme En raison de son argent. Pour faire honneur au bonhomme En raison de son argent !
23. O ya d’inorañ ar bolom
Balamour d’e arc’hant
O ya d’inorañ ar bolom
Balamour d’e arc’hant!
23. Pour faire honneur au bonhomme En raison de son argent. Pour faire honneur au bonhomme En raison de son argent !
Y’a quatre marins sur la mer, loin de leur amitié
(Loin de leur amitié)
Y’a quatre marins sur la mer, loin de leur amitié
(Loin de leur amitié)
Quand ils viendront à terre, gué fa-la-la la-la-lir
Nous les ferons danser, gué fa-la-la ridé
Quand ils viendront à terre, gué fa-la-la la-la-lir
Nous les ferons danser, gué fa-la-la ridé
Et la vague est profonde et le vent déchaîné
(Et le vent déchaîné)
Et la vague est profonde et le vent déchaîné
(Et le vent déchaîné)
De l’horizon qui gronde
Monte une houle sans pitié
C’est la misère du monde
Qui cogne au chalutier
(De l’horizon qui gronde
Monte une houle sans pitié)
C’est la misère du monde
Qui cogne au chalutier
Y’a bien de la souffrance pour les gens de la mer
(Pour les gens de la mer)
Y’a bien de la souffrance pour les gens de la mer
(Pour les gens de la mer)
Le coeur plein de vaillance
Dur au labeur solitaire
Aux croisées de l’absence
Ils chantent leur calvaire
(Le coeur plein de vaillance
Dur au labeur solitaire)
Aux croisées de l’absence
Ils chantent leur calvaire
Y’a quatre marins pêcheurs aux portes de l’enfer
(Aux portes de l’enfer)
Y’a quatre marins pêcheurs aux portes de l’enfer
(Aux portes de l’enfer)
Mais le canot des sauveteurs
A entendu leurs prières
Bravant le diable et la peur
Ils les ramène à terre
(Mais le canot des sauveteurs
A entendu leurs prières)
Bravant le diable et la peur
Ils les ramène à terre
Y’a quatre marins sur la terre près de leur bien-aimée
(Près de leur bien-aimée)
Y’a quatre marins sur la terre près de leur bien-aimée
(Près de leur bien-aimée)
Demain dès l’aube claire, gué fa-la-la la-la-lir
Ils reprendront la mer, gué fa-la-la ridé
Demain dès l’aube claire, gué fa-la-la la-la-lir
Ils reprendront la mer, gué fa-la-la ridé
Y’a quatre marins sur la mer, loin de leur amitié
(Loin de leur amitié)
Y’a quatre marins sur la mer, loin de leur amitié
(Loin de leur amitié)
C’était une boiteuse revenant du marché
Elle portait sur sa tête des oeufs à plein panier
C’était une boiteuse revenant du marché
Elle portait sur sa tête des oeufs à plein panier
Les oeufs s’en vont rouli-roulant
La vieille s’en va boiti-boitant
Boiteuse par-derrière, boiteuse par-devant
Boiteuse par-derrière, boiteuse par-devant
Sur les chemins du Morbihan la vieille s’en va boiti-boitant
Sur les chemins du Morbihan la vieille s’en va boiti-boitant
2)
C’était une boiteuse revenant du marché
Elle portait sur sa tête des poules à plein panier
Les poules s’en vont piri-pipant
Les oeufs s’en vont rouli-roulant
La vieille s’en va boiti-boitant
Boiteuse par-derrière, boiteuse par-devant
Sur les chemins du Morbihan la vieille s’en va boiti-boitant
3)
C’était une boiteuse revenant du marché
Elle portait sur sa tête des oies à plein panier
Les oies s’en vont coran-coquant
…
Boiteuse par-derrière, boiteuse par-devant
Sur les chemins du Morbihan la vieille s’en va boiti-boitant
4)
C’était une boiteuse revenant du marché
Elle portait sur sa tête des chats à plein panier
Les chats s’en vont miauli-miaulant
…
Boiteuse par-derrière, boiteuse par-devant
Sur les chemins du Morbihan la vieille s’en va boiti-boitant
5)
C’était une boiteuse revenant du marché
Elle portait sur sa tête des chiens à plein panier
Les chiens s’en vont jappi-jappant
…
Boiteuse par-derrière, boiteuse par-devant
Sur les chemins du Morbihan la vieille s’en va boiti-boitant
6)
C’était une boiteuse revenant du marché
Elle portait sur sa tête les Tu Pe Du qui chantaient
Les Tu Pe Du chanti-chantant
…
Boiti boiti boiti boiti boitant
Boiteuse par-derrière, boiteuse par-devant
Sur les chemins du Morbihan la vieille s’en va boiti-boitant
C’est dans 10 ans je m’en irai, un p’tit tour à laridé, un p’tit tour à laridé
C’est dans 10 ans je m’en irai, un p’tit tour à laridé, un p’tit tour à laridé
C’est dans 10 ans je m’en irai, un p’tit tour à laridé, un p’tit tour à laridé
C’est dans 10 ans je m’en irai, un p’tit tour à laridé, un p’tit tour à laridé
Un p’tit tour à laridé qui nous fait chauffe chauffe
Un p’tit tour à laridé qui nous fait chauffer les pieds
Un p’tit tour à laridé qui nous fait chauffe chauffe
Un p’tit tour à laridé qui nous fait chauffer les pieds
C’est dans 8 ans (…)
C’est dans 6 ans (…)
C’est dans 4 ans (…)
C’est dans 2 ans (…)
C’est dans 1 an (…)
Y a 10 corbeaux sur un rocher/clochet qui chantent la grand’ messe
Y a 10 corbeaux sur un rocher/clochet qui chantent la grand’ messe
Y a 10 corbeaux sur un rocher/clochet qui chantent la grand’ messe
Y a 10 corbeaux sur un rocher/clochet qui chantent la grand’ messe
Et l’alouette qui est en bas
Ponte dans la dentelle des gars
C’est comme ça que les demoiselles (elles) portent/ont de la dentelle au bras
Et l’alouette qui est en bas
Ponte dans la dentelle des gars
C’est comme ça que les demoiselles (elles) portent/ont de la dentelle au bras
Voici le mois de mai, les fleurs qui volent au vent.
Le fils du roi d’Espagne s’en va les ramassant.
Jamais je n’aurais mon âge de quinze ans.
Jamais je n’aurais mes amours de vingt ans.
Karantez, Karantez, a gan noz, a gan deiz,
Karantez, Karantez, a gan noz, a gan deiz.
Karantez, Karantez, goulou, goulou, guili, guili,
Karantez, Karantez, goulou, goulou, guili, guili.
Le fils du roi d’Espagne s’en va les ramassant.
Il en ramassa tant qu’il en remplit ses gants.
Jamais je n’aurais mon âge de quinze ans.
Jamais je n’aurais mes amours de vingt ans.
Karantez, Karantez, goulou, goulou, guili, guili,
Karantez, Karantez, goulou, goulou, guili, guili.
Karantez, Karantez, I love you and you love me.
Karantez, Karantez, I love you and you love me.
Il en ramassa tant qu’il en remplit ses gants.
Il les porte à sa amie pour lui faire un present.
Jamais je n’aurais mon âge de quinze ans.
Jamais je n’aurais mes amours de vingt ans.
Karantez, Karantez, I love you, you love me,
Karantez, Karantez, I love you, you love me,
Karantez, Karantez, I kiss you, you kiss me,
Karantez, Karantez, I kiss you, you kiss me.
Il les porte à sa amie pour lui faire un present.
Tenez tenez, ma amie, tenez voici mes gants.
Jamais je n’aurais mon âge de quinze ans.
Jamais je n’aurais mes amours de vingt ans.
Karantez, Karantez, goulou, goulou, guili, guili,
Karantez, Karantez, goulou, goulou, guili, guili.
Karantez, Karantez, I kiss you, you kiss me.
Karantez, Karantez, I kiss you, you kiss me.
Tenez tenez, ma amie, tenez voici mes gants.
Vous ne les porterez que deux ou trois fois par an.
Jamais je n’aurais mon âge de quinze ans.
Jamais je n’aurais mes amours de vingt ans.
Karantez, Karantez, I love you, you love me,
Karantez, Karantez, I love you, you love me.
Karantez, Karantez, I kiss you, you kiss me,
Karantez, Karantez, I kiss you, you kiss me.
Vous ne les porterez que deux ou trois fois par an.
À Pâques à la Toussaint, Noël et à Saint Jean.
Jamais je n’aurais mon âge de quinze ans.
Jamais je n’aurais mes amours de vingt ans.
Karantez, Karantez, a gan noz, a gan deiz,
Karantez, Karantez, a gan noz, a gan deiz.
Karantez, Karantez, goulou, goulou, guili, guili,
Karantez, Karantez, goulou, goulou, guili, guili.
Karantez, Karantez, I love you, you love me,
Karantez, Karantez, I love you, you love me.
Karantez, Karantez, I kiss you, you kiss me,
Karantez, Karantez, I kiss you, you kiss me.
(la partie en breton a été supposée sur la base de l’écoute et de peu de syntaxe trouvée en lisant des autres chants, et à cause de ça pourrait n’être pas correcte. Merci de me contacter s’elle n’est pas la bonne !)
On a tondu les moutons , et filé la laine nohhh
Et réparé la moto avec la clef allen nohhh
On a rencontré des filles pas du tout vilaines nohhh
Avec elles il y avait la Marie ranouen nohhh
On a respiré du tri du trichloroéthylène nohhh
Et le lendemain on avait mauvaise haleine nohhh
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Y a trois francs de réduction sur les chocos BN nohhh
Alors pour en profiter on les prend par douzaines nohhh
On s’est envoyé une bonne bouteille de chouchen nohhh
A la fin elle était vide elle était plus pleine nohhh
Après on a fait du stop avec les bigoudènes nohhh
Et on est allé en boîte mais y avait qu’des lesbiennes nohhh
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
On a jeté tous les parisiens dedans la Seine nohhh
On a noyé en même temps toutes les parisiennes nohhh
On a trouvé du pétrole aux îles Kerguelen nohhh
Et après on est parti pécho la sirène nohhh
Ah y’en a un qu’j’oublie toujours oh c’est Saddam Hussein nohhh
Celui-là nous pompe de l’air comme Jean-Marie Le Pen nohhh
On s’est roulé un cinq feuilles avec du pollen nohhh
Et après on est tous tombés dans le lagen nohhh
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Nanala Naganalalo Lanalalaleno
Si notre chanson vous a plu oh donnez-vous la peine nohhh
De nous payer un bon coup pour reprendre haleinen nohhh
Je n’me souviens plus de la suite alors c’est pas la peine nohhh
De toute façon ce qu’il fallait c’était une rime en “N”
Mon père il m’y marie, mon père il m’y marie
Mon père il m’y marie, mon père il m’y marie
Avec un avocat, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
Avec un avocat, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
Dès le soir de mes noces, dès le soir de mes noces
Dès le soir de mes noces, dès le soir de mes noces
Avec moi il coucha, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
Avec moi il coucha, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
Je tire la couverture, je tire la couverture
Je tire la couverture, je tire la couverture
Et lui il tire le drap, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
Et lui il tire le drap, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
Aperçut une chapelle, aperçut une chapelle
Aperçut une chapelle, aperçut une chapelle
Et vit l’père Nicolas, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
Et vit l’père Nicolas, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
Je vis un p’tit navire, je vis un p’tit navire
Je vis un p’tit navire, je vis un p’tit navire
Voguant pavillon bas, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
Voguant pavillon bas, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
La mer est si profonde, la mer est si profonde
La mer est si profonde, la mer est si profonde
L’avocat se noya, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
L’avocat se noya, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
Voilà la triste histoire, voilà la triste histoire
Voilà la triste histoire, voilà la triste histoire
Il est mort au combat, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
Il est mort au combat, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
A la guerre en d’sous les drap, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
A la guerre en d’sous les drap, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
Tu en trouv’ras bien d’autres, tu en trouv’ras bien d’autres
Tu en trouv’ras bien d’autres, tu en trouv’ras bien d’autres
Gaillard comme ces gars-là, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
Gaillard comme ces gars-là, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
Gaillard comme ces gars-là, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
Gaillard comme ces gars-là, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
Gaillard comme ces gars-là, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
Gaillard comme ces gars-là, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
Gaillard comme ces gars-là, oh ! lala ! Qu’ça n’va guère !
Gaillard comme ces gars-là, oh ! lala ! Qu’ça n’va pas !
L’aure jour je m’y promène
Par un chemin dans le bas
Par un chemin dans le bas
L’autre jour je m’y promène
Par un chemin dans le bas
Par un chemin dans le bas
Je rencontre une belle dame
Qu’était à laver les draps
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Je rencontre une belle dame
Qu’était à laver les draps
Qu’était à laver les draps
Je rencontre une belle dame
Qu’était à laver les draps
Qu’était à laver les draps
Je lui demandis madame
Coucherais-je dans vos beaux draps
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Je lui demandis madame
Coucherais-je dans vos beaux draps
Coucherais-je dans vos beaux draps
Je lui demandis madame
Coucherais-je dans vos beaux draps
Coucherais-je dans vos beaux draps
Venez ce soir vers les 10 heures
Mon mari n’sera point là
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Venez ce soir vers les 10 heures
Mon mari n’sera point là
Mon mari n’sera point là
Venez ce soir vers les 10 heures
Mon mari n’sera point là
Mon mari n’sera point là
Quand les 10 heures y fu’ sonnés
Le mari il arriva
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Quand les 10 heures y fu’ sonnés
Le mari il arriva
Le mari il arriva
Quand les 10 heures y fu’ sonnés
Le mari il arriva
Le mari il arriva
Frappe 3 coups à la porte
Femme ouvrez-moi donc cela
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Frappe 3 coups à la porte
Femme ouvrez-moi donc cela
Femme ouvrez-moi donc cela
Frappe 3 coups à la porte
Femme ouvrez-moi donc cela
Femme ouvrez-moi donc cela
Je ne peux ouvrir la porte
J’ai un enfant dans les bras
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Je ne peux ouvrir la porte
J’ai un enfant dans les bras
J’ai un enfant dans les bras
Je ne peux ouvrir la porte
J’ai un enfant dans les bras
J’ai un enfant dans les bras
Donne-le à la servante
Mieux que toi, le gardera
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Ma servante elle est malade
Je crois bien qu’ell en mourra
Je crois bien qu’ell en mourra
Va donc vite chercher le prêtre
Le médicin s’il est là
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Va donc vite chercher le prêtre
Le médicin s’il est là
Le médicin s’il est là
Quand le prêtre il arriva
De malade il n’y avait pas
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Quand le prêtre il arriva
De malade il n’y avait pas
De malade il n’y avait pas
C’est la maladie des femmes
Quand le mari n’est pas là
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
C’est la maladie des femmes
Quand le mari n’est pas là
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
Dirais-je tou nanni nanni
Dirais-je tou je n’ose
C’est un lundi, j’ai rencontré une fille, là
C’est un lundi, elle a les yeux qui brillent (bis)
Elle m’sourit mais ne dit rien
J’repass’rai la voir demain
On a beau dire , on a beau faire,
Le bonheur est éphémère
On a beau faire, on a beau dire,
Le temps n’fait que des martyrs (bis)
C’est un mardi, j’ai retrouvé la fille
C’est un mardi, qui a les yeux qui brillent
Elle m’fait un signe de la main
J’irai lui parler demain
On a beau dire , on a beau faire,
Le bonheur est éphémère
On a beau faire, on a beau dire,
Le temps n’fait que des martyrs (bis)
C’est un jeudi, j’suis allé voir la fille
C’est un jeudi, qui a les yeux qui brillent
Elle me dit « Tu me plais bien »
Elle m’a montré son jardin..
On a beau dire , on a beau faire,
Le bonheur est éphémère
On a beau faire, on a beau dire,
Le temps n’fait que des martyrs (bis)
C’est un sam’di, j’me réveille près d’la fille
C’est un sam’di, qui a les yeux qui brillent
Elle me dit « Faut dégager !
Car mon mari va rentrer »
On a beau dire , on a beau faire,
Le bonheur est éphémère
On a beau faire, on a beau dire,
Le temps n’fait que des martyrs (bis)
C’est un dimanche, j’ai recroisé la fille
C’est un dimanche, qu’à plus les yeux qui brillent
Y’a un … entre ses bras
Elle ne me regarde même pas
On a beau dire , on a beau faire,
Le bonheur est éphémère
On a beau faire, on a beau dire,
Le temps n’fait que des martyrs (bis)
Avec une bêche à l’épaule
Avec, à la lèvre, un doux chant
Avec, à la lèvre, un doux chant
Avec une bêche à l’épaule
Avec, à l’âme, un grand courage
Il s’en allait trimer aux champs
Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Pauvre Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Pour gagner le pain de sa vie
De l’aurore jusqu’au couchant
De l’aurore jusqu’au couchant
Pour gagner le pain de sa vie
Il s’en allait bêcher la terre
En tous les lieux, par tous les temps
Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Pauvre Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Sans laisser voir, sur son visage
Ni l’air jaloux ni l’air méchant
Ni l’air jaloux ni l’air méchant
Sans laisser voir, sur son visage
Ni l’air jaloux ni l’air méchant
Il retournait le champ des autres
Toujours bêchant, toujours bêchant
Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Pauvre Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Quand la mort lui a fait signe
De labourer son dernier champ
De labourer son dernier champ
Quand la mort lui a fait signe
De labourer son dernier champ
Il creusa lui-même sa tombe
En faisant vite, en se cachant
Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Pauvre Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Pauvre Martin, pauvre misère
Et quand la mort lui a fait signe
De labourer son dernier champ
De labourer son dernier champ
Quand la mort lui a fait signe
De labourer son dernier champ
Il creusa lui-même sa tombe
En faisant vite, en se cachant
Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Pauvre Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Il creusa lui-même sa tombe
En faisant vite, en se cachant
En faisant vite, en se cachant
Il creusa lui-même sa tombe
En faisant vite, en se cachant
Et s’y étendit sans rien dire
Pour ne pas déranger les gens
Martin, pauvre misère
Dort sous la terre, dort sous le temps
Pauvre Martin, pauvre misère
Dort sous la terre, dort sous le temps
Avec une bêche à l’épaule
Avec, à la lèvre, un doux chant
Avec, à la lèvre, un doux chant
Avec une bêche à l’épaule
Avec, à la lèvre, un doux chant
Avec, à la lèvre, un doux chant
Avec, à l’âme, un grand courage
Il s’en allait trimer aux champs
Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Pauvre Martin, pauvre misère
Creuse la terre, creuse le temps
Le corsaire Le Grand Coureur
Est un navire de malheur
Quand il se met en croisière
Pour aller battre l’Anglais,
Le vent, la mer et la guerre
Tournent contre le Français!
Allons les gars,gai,gai!
Allons les gars,gaiement!
Il est parti de Lorient
Avec belle mer et bon vent
Il cinglait bâbord amure
Naviguant comme un poisson;
Un grain tombe sur la mâture,
Voilà le corsaire en ponton!
Il nous fallut remâter
Et diablement bourlinguer ,
Tandis que l’ouvrage avance
On aperçut par tribord
Un navire d’apparence
A mantelets de sabord!
C’était un Anglais vraiment
A double rangée de dents
Un marchand de mort subite,
Mais le Français n’a pas peur;
Au lieu de prendre la fuite
Nous le rangeons à l’ honneur!
Ses boulets sifflent sur nous;
Nous lui rendons coup pour coup,
Tandis que la barbe en fume
A nos braves matelots
Nous voilà pris dans la brume
Nous échappons aussitôt!
Pour finir ce triste sort,
Nous venons périr au port
Dans cette affreuse misère,
Quand chacun s’est cru perdu,
Chacun,selon sa manière
S’est sauvé comme il a pu!
De notre horrible malheur,
Le calfat seul est l’auteur;
En tombant de la grand hune
Dessus le gaillard d’avant
A rebondi dans la pompe
Défoncé le batiment!
Si l’histoire du Grand Coureur
A pu vous toucher le coeur
Ayez donc belles manières
Et payez-nous largement,
Du vin,du rack,de la bière
Et nous serons tous contents!
Me zo ganet ba Gemene O, joli coucou
Me zo ganet ba Gemene O, joli coucou
Ma zad, ma mamm a oa ivez Joli, joli coucou
Ma zad, ma mamm a oa ivez O, joli coucou
Ma zad, ma mamm ‘nivoa madoù
Da gas ac’hanon d’ar skolajoù
D’ar skolajoù ‘vit bout beleg
Ma c’halon baour permeta ket
D’ar skolajoù ‘vit bout manac’h
Ma c’halon ‘noa dezir ur plac’h
Ha p’ae ar re all da bediñ
Me deue war ar ruioù da c’hoari
Ha p’ae ar re all ‘barzh ar c’hlas
Me deue war ar ruioù da c’hoari las
Ma zad, ma mamm p’o doe klevet
Na peseurt fripon ‘doe-int maget
‘Nivoa skrivet din ul lizher
Da zont d’ar gêr da chañch micher
Kerse oa gant ma c’hostioù
Labourat trañchoù ha palioù
Kichen oe bout ba’r seminer
Lakaat pluñv liv war ar paper
Oan ket bet pell ba ti ma zad
‘Moa dibochet merc’h un oc’h mat
Ur plac’h a bemp kant skoed ar blé
Ha me ‘moa kement-all ivez
En o’r ur bloaz oa lipet toud
Ha sac’h ar person war ma choug
–
Je suis né à Guéméné O, joli coucou
Je suis né à Guéméné O, joli coucou
Mon père, ma mère aussi Joli, joli coucou
Mon père, ma mère aussi O, joli coucou
Mon père, ma mère avaient du bien
Pour m’envoyer au collège
Au collège pour devenir prêtre
Mon pauvre coeur ne le permet pas
Au collège pour devenir moine
Mon coeur désirait une fille
Quand les autres allaient prier
J’allais dans les rues pour jouer
Quand les autres allaient en classe
J’allais dans les rues pour faire la fête
Mon père, ma mère, quand ils ont entendu
Quelle espèce de fripon ils avaient élevé
M’ont écrit une lettre
De revenir à la maison pour changer de métier
Mes côtes étaient pleines de regrets
Pour travailler avec les houes et les pelles
A côté de ce que j’avais connu au séminaire
Mettre des encres de couleur sur le papier
Je ne fus pas longtemps chez mon père
Avant de débaucher la fille d’un riche propriétaire
Une fille à cinq cents écus par an
Et moi j’en avais autant
En un an tout était dilapidé
Et j’avais le sac du recteur sur le dos
Y a ‘cor dix filles à Questembert
qu’aiment bien le son du hautbois.
Moi, j’aime mieux mon violon,
car il sonne, il danse.
Moi, j’aime mieux mon violon,
car il sonne de toutes
les façons.
Mon père, aussi ma mère, sous la feuille, sous la feuille
D’enfant n’avaient que moi, sous la feuille du bois.
D’enfant n’avaient que moi, sous la feuille du bois.
Tous les jours ils me disent,
Mon enfant, marie-toi.
Mon père, aussi ma mère,
Etes-vous lassés de moi ?
J’ai trois amants en guerre,
Tous trois amoureux de moi,
L’un est le fils d’un prince,
L’autre est le fils du roi,
Et l’autre qu’est maître d’école,
Celui-là sera pour moi,
Il écrira des lettres,
Je les signerai moi,
A chaque mots qu’il met,
Mignonne, embrasse-moi.
À la première lune lon malura sont venus les notaires
Mais nous sommes restés là à la zim à la zad à la zim zoum zad
De Notre Dame des Landes lon malura de Notre Dame des Landes
À la deuxième lune lon malura les beaux parleurs arrivent
Mais nous sommes restés là à la zim à la zad à la zim zoum zad
De Notre Dame des Landes lon malura de Notre Dame des Landes
À la troisième lune lon malura les grands patrons débarquent
Mais nous sommes restés là à la zim à la zad à la zim zoum zad
De Notre Dame des Landes lon malura de Notre Dame des Landes
À la quatrième lune lon malura voici les démolisseurs
Mais nous sommes restés là à la zim à la zad à la zim zoum zad
De Notre Dame des Landes lon malura de Notre Dame des Landes
Pour défendre la Gaité / le Sabot, les Cent Chênes
La Saulce les Rosiers / le Tertre, le Pré Failli
Le Liminbout, la Sècherie / l’Isolette, les Fosses Noires
Les Blanchettes et la Gare / Rolandière et Saint-Antoine
Les chemins de Suède et les landes de Roanne
À la cinquième lune lon malura z’ont envoyé les gendarmes
À la cinquième lune lon malura z’ont envoyé les grenades
Mais nous sommes restés là à la zim à la zad à la zim zoum zad
De Notre Dame des Landes lon malura de Notre Dame des Landes
À la sixième lune lon malura viennent les bétonneuses
Mais nous sommes restés là à la zim à la zad à la zim zoum zad
De Notre Dame des Landes lon malura de Notre Dame des Landes
Il y avait des paysans / des professeurs, des infirmiers / des avocats, des
ouvriers
Des facteurs et des coiffeurs / des danseurs, animateurs / antiquaires et
boulangers
Chanteurs, pilotes, éducateurs / des lents et des rapides
Des noirs, des blonds, des jeunes des vieux / dans le froid, la boue
Sous les arbres, sous la pluie / les chansons, la brume
À la dernière lune lon malura sont repartis en arrière
Mais nous sommes restés là à la zim à la zad à la zim zoum zad
De Notre Dame des Landes lon malura de Notre Dame des Landes
De Notre Dame des Landes lon malura de Notre Dame des Landes […]
En hun pounner emdomp, hag ar sell dirazomp.
Evit bezañ dereat, hor c’halon o kaletaat…
Marv int ar reveulzioù, nije kuit holl hor sonioù…
Pelech ini al lavorioù?
Setu fals-ebestel ha milinoù-ɑvel!
Dilhadoù gouleier evit kuzhat ar vizer…
Morv ini ar reveulzioù…
” I de i ne iné tan, né dogomusa zomalod’ é
I de i ne iné tan, ne dogomusa zomalod’a
I de i dé tran tam, outo ou domalod’ eka”
Daoust d’an heugadennoù, ha da spont ar goullo
Ar bed, ‘dal ar mintin, a zekor c’hoazh é vitrin
Marv int ar reveulzioù…
On est dans un sommeil profond,
On regarde droit devant soi
On s’encurcit le çoeur pour
Etre comme il faut…
Voici de faux apôtres et
Des moulins à vent!
Des habits de lumière
Pour cacher la misère
Malgré les haut-le-caur,
Malgré la peur du vide,
Le monde, chaque matin,
Re-décore sa vitrine.
Elles sont bien mortes
Les révolutions,
Eslles se sont envolées
Toutes les paroles
De nos chansons.
Paotrig Yaouank selaouit mat,
Ur Gentel Savet d’ho kourdad
An neb na ouie na skrivan na lenn
aLake ar bed war e eilpenn
Jeune homme écoutez bien
Une leçon de votre aieul
Qui sans lire, ni écrire
Mettait le monde cul par dessus tete
An dispac’h a ziwan ouz un tog bras
Gounezet e vez gant ar penn-bazh
Ur botoù koad hag ur gwall valc’h
Pichon a vez a-drenv rampet war varc’h
La révolte nait sous un grand chapeau
Se gagne à la force du penn-bazh (baton)
Des sabots de bois et d’une bonne faux
Le Jaques est loin derrière, campé sur sa monture
An enor a zo aes da ganan,
An tec’h a zispak mouezhioù skanv
En ur youc’hal “Vive la République”
e Vije dispaket lostoù pik
L’honneur est facile à chanter
La fuite révele des voix légères
Aux cris de “Vive la République”
On voit ressortir les “queues de pies”
Ne voe ket sufis dic’hougan ar roue
an Nobl hag chouaned doue
Gant o arc’hant hag o fuzuilh
Nijent graet eus ul lun ur sul
Il ne suffisait pas de décapiter le Roi
Le noble et les chouans de dieu
Avec leur argent et leurs fusils
Auraient fait dimanche d’un lundi
An eil barvek a heuse an all,
Ne voeken nemet toucherien dall
Nebeut a gwell met komzoù kaer
a Rae un touill-kar d’an impalaer
Un barbu succédait à l’autre
Ne restait que d’aveugles charretiers
Peu de progrès mais de belles paroles
Ouvraient grand la porte à l’Empereur
Dre chans, ar bobl a voe aheurtet,
Gant tri daol-teurk neuint gounezet
Kant vloaz da gas ur geferdi
Un den a zo a-walc’h d’he distrujin
Par chanche le peuple était obstiné
En trois coups de boutoir il a gagné
Cent ans à batir son histoire
Un homme suffit pour la détruire
eN ur Bloavezh naontek kant seitek e savas war ar Rusi
Un avel suilh d’ar juloded, d’al laou a voe leun a spi
Mouezh Lenin a zistone
E speredoù brasar bed en ur ganan “liberte”
En l’an 1917 se leva sur la Russie
Un vent mauvais pour les nantis, le miséreux était plein d’espoir
L’écho de la voix de Lénine résonnait
Chez les grands esprits de ce monde en chantant “Liberté”
Na c’hoaezhit ket deus ho tud-kozh, o gwad a ruilhe stank
Pevar bloaz brezel, un tiegezh a ra deoc’h ur spered frank
Evit an diwezhan kan,
O feiz ah ae d’ar goulmig evidoc’h da vevan drant
Ne riez pas de vos aieuls: leur sang coulait souvent
Quatre ans de guerre, une famille à soutenir, cela vous forge l’esprit
Pour une dernière complainte
Leur foi allait vers la Colombe pour que votre vie soit plus sereine
Paotrig yaouank, diwallit mat, dalc’hit ar sujoù stenn
Meur a hani a glasko krog er marc’h da sachan war e bemm
Ur c’harrad krennet berr
Pa vez funiennet stenn a vez aesoc’h da gas d’ar ger
Jeune homme prenez garde, tenez bien les renes
Plus d’un essayera de tirer le cheval par la bride
Une charrette soigneusement peignée,
Quand elle est bien sanglée est plus facile à mener.
Je remercie Elodie, ma super copine d’un super covoiturage Blablacar.fr entre Colmar et Angers, pour m’avoir aidée avec des mots incompréhensibles!
Si vous comprénez le mot ou se trouve le “?” dit-le moi SVP!
Au matin des mes vingt ans j’allais en ville pour revoir celle que j’aimais une jolie fille
C’est la fille d’un prince de gran famille
Je courais à perdre haleine laridaine je courais dans les grand prés laridé
Au milieu des mes vingt ans j’ai vue la belle habillée des fils de soi et des dentelles
Gaie comme le printemp et l’hirondelle
Je courais à perdre haleine laridaine, je courais dans les grand prés laridé
Pour le soir des mes vingt ans j’étais dans le ciel à danser la grande ronde des amoureux
Dans un nid d’? et de bois pressé, dans des jolis draps de lin laridaine, dans des jolis draps brodés
Dans la nuit des mes vingt ans j’étais soudanment arraché par le dragon de mon beau-pèr
La belle s’est jetée devant la mer pour une si grande peine laridaine
pour un amour términé laridé
Merci à un ami à moi qui m’a aidée avec le texte =)
1. E-kichen Menez-Meur
Ar gozh-glazard meur
Ar gozh-glazard meur
Mesk-ha-mesk war al leur,
Evezh, aneval kasaus!
Gant e vernad Bleiz ruz!
Tec’h, tec’h, tec’h
Kozh-glazard tec’h di, tec’h!
Kae kuit d’an Amerik,
En-dro d’an Ohio!
2. E-kichen Menez-Ruz
Ar gozh-glazard ruz
Ar gozh-glazard ruz
Distouvet ‘barzh ar c’huzh
Evezh, aneval kasaus
Gant e voulad Bleiz ruz!
Tec’h, tec’h, tec’h….
3. E-kichen menez Rous
Ar gozh-glazard louz
Ar gozh-glazard louz,
Deus pourmen war ar plouz!
Evezh, aneval kasaus,
Gant ezhec’h e’l Bleiz ruz.
Tec’h, tec’h, tec’h….
Jurassique
1. Sur le flanc du Grand Mont
Le grand dinosaure
Le grand dinosaure
Éparpillé sur le terrain.
Prends garde, dangereux animal
A la meute du Loup roux.
Va-t-en, va-t-en, va-t-en,
Dinosaure, va-t-en, va-t-en!
Va-t-en en Amérique!
Retourne dans l’ Ohio!
2. Sur le flanc du Mont Rouge
Le dinosaure rouge
Le dinosaure rouge
Débusqué de sa cachette
Prends garde, dangereux animal
A la bande du Loup roux.
Va-t-en,…
3. Sur le flanc du Mont Roux
Le dinosaure crasseux
Le dinosaure crasseux
Va se promener sur la paille.
Prends garde, dangereux animal
Aux chefs tels que le Loup roux.
M’y promenant un soir au bord de l’eau J’ai bien fait rencontre d’un charmant matelot (bis) Beau marinier, il revenait des îles Il m’a fort bien priée d’entrer dans son navire
Je l’ai trouvé si fier et si charmant Que j’ai mis le pied dans son beau bâtiment (bis) Tout aussitôt il lâche les bordages Met la voile au vent, le navire gagne au large
Marin, marin, arrête ton bateau Car il est trop tard pour voyager sur l’eau (bis) Pour voyager sur cette triste mer Loin de mes parents et de ma tendre mère
Le beau galant qui la voyait pleurer Ne savait quoi faire pour la consoler (bis) Pleurez pas tant mon aimable maîtresse Avant sept ans nous mettrons pied sur terre
Et que diront les gens de mon pays D’avoir demeuré sept ans sans revenir (bis) Tu répondras à ton père à ta mère que t’as voyagé ce temps-là sur la mer
C’est à dix heures les gars, monsieur l’curé n’veut pas,
monsieur l’curé n’veut pas
Monsieur l’curé n’veut pas que les filles y dansent
Si vous dansez les filles, vous s’rez en pénitence
C’est à neuf heures les gars, monsieur l’curé n’veut pas,
monsieur l’curé n’veut pas
Monsieur l’curé n’veut pas que les filles y dansent
Si vous dansez les filles, vous s’rez en pénitence
C’est à huit heures les gars, monsieur l’curé n’veut pas,
monsieur l’curé n’veut pas
Monsieur l’curé n’veut pas que les filles y dansent
Si vous dansez les filles, vous s’rez en pénitence
C’est à sept heures les gars, monsieur l’curé n’veut pas,
monsieur l’curé n’veut pas
Monsieur l’curé n’veut pas que les filles y dansent
Si vous dansez les filles, vous s’rez en pénitence
Mon père a ‘core six grains, sous le tic-tac du moulin
Voilà ce qui va mieux sous le tic-tac de la meule
Voilà ce qui va bien sous le tic-tac du moulin
Mon père a ‘core cinq grains, sous le tic-tac du moulin
Voilà ce qui va mieux sous le tic-tac de la meule
Voilà ce qui va bien sous le tic-tac du moulin
Mon père a ‘core quatre grains, sous le tic-tac du moulin
Voilà ce qui va mieux sous le tic-tac de la meule
Voilà ce qui va bien sous le tic-tac du moulin
Chez nous on fabrique trois instruments de musique,
trois instruments de musique.
Ma femme joue du violon, ma servante du guéridon,
Et moi de la flûte les gars et moi de la flûte.
Chez nous on fabrique deux instruments de musique,
trois instruments de musique.
Ma femme joue du violon, ma servante du guéridon,
Et moi de la flûte les gars et moi de la flûte.
Chez nous on fabrique un instruments de musique,
trois instruments de musique.
Ma femme joue du violon, ma servante du guéridon,
Et moi de la flûte les gars et moi de la flûte.
Y’a bien 10 ans la belle que nous allions au bois
Cueillant cueillant les roses, cueillant cueillant les noix
T’en souviens-tu mignonne
T’en souviens-tu de moi.
Il y a ‘core 10 pommes dans les pommiers
Et 10 melles dans les melliers
L’oisel d’l’amour est arrivé
Dans ses ailes il m’a ‘veloppé
Les vieilles branches elles ont cassées
Les nouvelles elles ont poussées.
Pour ceux qui veulent en savoir plus de ce texte, je recommande cette page qui contient la chanson originale du Barzaz dont cette chanson est prise: http://chrsouchon.free.fr/chants/daouvre2.htm
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Ni na n’omp ket deuet aman d’ober troioù goullo
Kennebeut dre blijadur da uzan hon botoù
Kar ma botoù a zo toull ha ma loeroù a zo fall
Ha n’am eus ket ken arc’hant da brenan ur re all
Na mag an-me d’an arme, ‘vel ma kontan monet
‘Men e lakin-me ma dous berjelenn da viret
Roet-hi din ‘ta ma breur-kaer, roet-hi din mar karet
Me a lako ‘ne’i er gambr gant ma dimezelled
Peotramant ‘barzh ar sal vras gant ma itronezed
‘Noa ket graet an den yaouank ‘met mont ‘maez deus an ti
‘Oa komanset he c’hoar-gaer da ganan pouilh dezhi
Diwisket ho prozioù gwenn ho koefoù dantelezhet
Ha kerzhet d’ar menez du da viret al loened
Ma n’oc’h ket bet kustumet, kustumet a viet
Aman zo ur wialenn wenn, deus an daou tri sort plant
Hag a rey deoc’h-c’hwi berjelenn monet pa ‘pe ket c’hoant
Diwisket ‘neus he robenn wenn peseurt ha’i ‘doa laket
Ha ‘oe aet d’al lanneier da viret al loened
E-pad ar seizh vloaz kentan ar verjelenn a ouele
Pa oe komanset an eizhvet ar verjelenn a gane
P’oa an denjentil yaouank ’tistrein deus an arme
‘Gleviet mouezh ur verjelenn ‘ba ‘kreiz al lann e kano
Anzavet ‘ta berjelenn laret ar wirionez
Moarvat ‘man debret ho lein pa ganet-c’hwi ken gae
Bruzhun bara diwar an daol ‘vez serret din da greisteiz
Ha ma soubenn ‘ba’ skudell ar c’hi a vez trempet din bemdeiz
Pour ceux qui veulent en savoir plus de ce texte, je recommande cette page qui contient la chanson originale du Barzaz dont cette chanson est prise: http://chrsouchon.free.fr/chants/daouvre2.htm
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Ma soubenn ‘ba’ skudell ar c’hi a vez trempet din bemdeiz
‘Barzh ur sac’h ‘gouskan da noz asambles gant an denved
Laret din-me berjelenn el lann gant ho tenved
Peseurt mod ho peus gallet konservin ho kwerc’hted
Un denjentil yaouank ‘moa a zo aet d’an arme
Hag a nevoa blev melen henvel-mat deus ho re
Hag a nevoa blev melen henvel-mat deus ho re
Un diamant war e viz henvel deus ho kani
Mag en devoa blev melen henvel-mat deus ma re
Sellet mat ‘ta berjelenn ha n’eo ket me a vehe
Dastumet ‘ta berjelenn dastumet ho tenved
Deomp da gaout ma breur henanda lakaat ‘n’an souezhet
Bonsoar deoc’h ma breur henan, bonsoar deoc’h-c’hwi ‘laran
Pelec’h ‘man ma berjelenn em boa leusket aman
Eman du-se ‘barzh er gambr gant an dimezelled
Peotramant ‘barzh ar sal vras gant an itronezed
Gaou a larez din ma breur dirak ma daoulagad
Kaset ‘poa ‘ne’i d’al lanneier da viret al loened
Panevet e respektan ti ma eontr ma moereb
Me ‘me lakaet leur an ti da ruzian gant da wad
Il y a trois-quatre ans, mes demoiselles
Que j’entend claquer vos petites semelles,
Il y a trois-quatre ans mes demoiselles que j’entends claquer vos petits souliers
tournez tournez, claquez claquez, vos petits souliers ne sont point usées
Tournez tournez donc, mes demoiselles, tournez tournez donc vos blancs jupons,
Tournez tournez donc, mes demoiselles, tournez tournez donc vos blancs jupons
Il y a bien trois ans, mes demoiselles
Que j’entend claquer vos petites semelles,
Il y a bien trois ans mes demoiselles que j’entends claquer vos petits souliers
tournez tournez, claquez claquez, vos petits souliers ne sont point usées
Tournez tournez donc, mes demoiselles, tournez tournez donc vos blancs jupons,
Tournez tournez donc, mes demoiselles, tournez tournez donc vos blancs jupons
Il y a bien deux ans, mes demoiselles
Que j’entend claquer vos petites semelles,
Il y a bien deux ans mes demoiselles que j’entends claquer vos petits souliers
tournez tournez, claquez claquez, vos petits souliers ne sont point usées
Tournez tournez donc, mes demoiselles, tournez tournez donc vos blancs jupons,
Tournez tournez donc, mes demoiselles, tournez tournez donc vos blancs jupons.
Il y a plus d’un an, mes demoiselles
Que j’entend claquer vos petites semelles,
Il y a plus d’un an mes demoiselles que j’entends claquer vos petits souliers
tournez tournez, claquez claquez, vos petits souliers ne sont point usées.
Tournez tournez donc, mes demoiselles, tournez tournez donc vos blancs jupons,
Tournez tournez donc, mes demoiselles, tournez tournez donc vos blancs jupons.
A pe oen me plah iouank me ur goanten gé!
Plahe zed ne oe ket stank e loun e borh Elven gé!
Allas er gohoni en des me goal-auzet o!
bremen nen don ket mui er plah kear ma on bet
A pe oen arriu en oed
en oed de zimeei, gé!
Bout oe lod kaer ag er bautred
E selle bouill doh ein, gé!
Allas! er gohoni
En des men goal-auzet, o!
bremen, ne ve groeit mui
Ahanon stad erbet!
De sonnein er filajeu
nag ur vat e oen me, gé!
pe laren me sonnenneu
En ol me cheleue.
Allas! er gohoni
en des men goal-auzet, o!
bremen ne sonnan mui
Men boeh e zon torret!
A pe oen me plah iouank me ur goanten gé!
Plahe zed ne oe ket stank e loun e borh Elven gé!
Allas er gohoni en des me goal-auzet o!
bremen nen don ket mui er plah kear ma on bet
D’An Hini A Garan, ne ran nemet huanadiñ
Huanadiñ noz ha deiz, deiz ha noz hirvoudiñ
Rak-se em eus savet ha rak-se e kanan
Kanennig ma c’halon d’an hini a garan.
An hini a garan, kollet ‘m eus da viken
Aet eo da broioù pell, d’ur vro n’anavezan ket
Aet eo d’ar broioù pell, da c’hounit he bara
Kollet, kollet un deiz, an hini a garan.
D’An Hini A Garan, ne ran nemet huanadiñ
Huanadiñ noz ha deiz, deiz ha noz hirvoudiñ
Rak-se em eus savet ha rak-se e kanan
Kanennig ma c’halon d’an hini a garan.
Le site de Christian Souchon
Christian Souchon étudie la langue Bretonne avec ses chansons et ses traditions. Retrouvéz ici ses études sur les textes du Barzaz et des autres collections de chansons traditionelles.